Cela fait bientôt 10 ans, que j’ai commencé à étudier la fermentation. Oui étudier car on se sait pas ou on va les premières fois. Puis au fur et à mesure de mes essais, j’ai analyser, compris pour pouvoir maitriser certaines fermentations. Bien que je travaille avec du vivant et que la moindre erreur puisse être très dangereuse, il faut aussi se tromper, jeter et recommencer pour pouvoir proposer un produit de qualité et sain. Sain à la consommation et sain pour l’être humain. Car la fermentation ne permet pas que de suivre une tendance de plus, mais elle me permet aussi de pouvoir proposer une cuisine gourmande et saines pour le corps.
J’ai commencé ce travail par la fermentation acétique et la création de vinaigre différents de ceux du commerce, comme des vinaigre aux agrumes de la famille Schaller Bachès, puis des vinaigre de malt à base de bière brune et des vinaigres de fruits. La deuxième étapes à été la lacto fermentation (végétal), à ne pas confondre avec la fermentatrion malolactiques (yaourt)et les kombuchas. Mais il m’aura fallut plus d’un an de travail pour avoir des résultats qui me convenait. Un travail long fait de recommencement, d’échecs et de réussites.
Tout se temps passé pour pouvoir maitriser une pratique sain et ancestrale, que les service d’hygiène n’arrive pas à intégrer dans les bonnes pratiques, dû aux microbes. Car si on travail avec du vivant dans la fermentation, c’est bien avec des micro-organismes ou des champignons que nous réalisons nos fermentations. Et quand on trouves ces bons microbes, il peut y avoir aussi les mauvais micro, ce qui nous font du mal, à notre corps, à l’être humain. Alors si vous vous lancer dans la fermentation pensez constamment à la rigueur des bonnes pratiques d’hygiène et de conservation afin que cette méthode de travail reste bonne pour le corps et l’esprit.
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